Extraction
Les Sœurs de bataille ont récupéré la Sainte pastille lors du précédent affrontement. La Death Guard a réussi à contaminer plusieurs quartiers. La partie va mettre en scène le trajet des survivantes du premier acte vers leur point d’exfiltration. Le quartier est donc sous l’emprise de Nurgle, voyant ses rues envahies de Véroleux et autres habitants contaminés, sous le regard amusé de quelques marines du chaos et autres cultistes en plein pillage.
Pour cette partie, vu le résultat de la précédente, les véroleux ont bénéficié de la règle assaut soutenu (voir Règles spéciales de campagne)
ARMÉES :
C'est une partie minimaliste. Il s'agit juste de savoir si la pastille peut être évacuée. maximum 750 points, que du piéton.
Loyalistes :
Deux forces, l'une constituée des survivants de la partie contamination, l'autre représente la force d'évacuation.
Cette dernière ne devrait contenir que des unités ligne ou infanterie avec un lieutenant ou équivalent, plus un véhicule (gratuit, idéalement aéronef) qui ne compte que comme objectif à atteindre. Il ne peut ni tirer ni se déplacer, mais peut recevoir des dégâts...
Chaos:
Utilisez une force équivalente à la somme des unités adverses. le quartier étant contaminé on peut raisonnablement penser que des bâtiments peuvent contenir des pesteux, ou bien qu'ils errent dans les rues.
Nos armées : 1 hospitalière accompagnée de 2 escouades de Sœurs (déjà entamées), 2 escouades primaris, 1 lieutenant, 1 psycker, 1 repulsor. Côté Chaos, des véroleux en assaut soutenu, 1 escouade de cultistes, 1 unité de légionnaires.
CHAMP DE BATAILLE :
La partie se déroule toujours en zone urbaine, le combat précédent était dans le quartier voisin. Le/les joueur(s) envahisseur(s) disposent le champ de bataille. Il est possible de créer un ''parcours'' afin d'éviter que les loyalistes ne fassent un tout droit jusqu'à leur objectif. Il peut s'agir de bâtiments infranchissables, de zones infectées ou remplies de véroleux prêts à surgir etc.
Pour notre bataille j'ai marqué certaines zones des bienfaits de Nurgle (-1 à l'endu en y pénétrant), d'autres étaient des bâtiments contenant possiblement des véroleux (par ex. : sur un 4+ en étant à - de 3" du bâtiment, apparition de 1d6 véroleux).
Déployez dans un coin (12"/12") les Sœurs survivantes, et dans le coin opposé la force d'évacuation. C'est tout !
DÉPLOIEMENT :
Les loyalistes disposent leurs troupes en premier. L'envahisseur ne peut disposer ses troupes à moins de 18" des loyalistes, et peut disposer autant de troupes "cachées" ou en réserve qu'il le souhaite.
PREMIER TOUR :
Les loyalistes ont le premier tour.
DURÉE DE LA PARTIE :
5 Tours, d'un commun accord la partie peut durer un tour de plus.
OBJECTIFS :
Loyalistes :
Apporter la relique jusqu'au véhicule objectif. Peut importe les unités sacrifiées, la relique doit être mise en sécurité et étudiée.
S'assurer que le véhicule objectif ne soit pas détruit.
Envahisseur :
Mettre la main sur la relique.
VICTOIRE :
Si la relique part dans le transport la mission est une réussite pour les loyalistes. Ils pourront l'envoyer dans un laboratoire.
Si elle tombe dans les mains du chaos.... Si c'est Nurgle on peut raisonnablement imaginer une forme de corruption. S'il s'agit des corsaires du chaos, ils pourront la garder jalousement pour la mettre en vitrine dans leur musée.
Il s'en est fallut de peu...
L'hospitalière, escortée par ses sœurs, a porté davantage que la relique lors de cette mission. En effet elle a porté le fardeau du sacrifice de ces combattantes dévouées tout le long du chemin menant au Repulsor. Les véroleux sortaient de partout, plus les sœurs en tuait plus il en arrivait. Il fallut le sacrifice de la quasi totalité des saintes guerrières pour ouvrir un passage pour un dernier sprint.
Ce dernier faillit ne pas suffire. L'hospitalière fut tuée à quelques pas des primaris déjà engagés par des marines du chaos. Dans un ultime effort elle tendit la relique au lieutenant qui pu s'échapper, ses frères d'arme faisant rempart de leurs corps.
La pastille allait pouvoir être amenée dans un laboratoire pour être étudiée, voire dupliquée afin d'endiguer la contamination.
